Liesbeth Billen : « En tant qu’infirmière en médecine du travail, chaque jour m’apporte quelque chose de nouveau »
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Liesbeth Billen a travaillé pendant des années comme infirmière dans un hôpital, puis dans une maison de repos. Pendant la crise du coronavirus, elle a fait la transition vers Mensura.
« Continuer à apprendre et à me développer, j’ai cela dans le sang, et je me sentais trop limitée à cet égard dans mes emplois précédents. J’ai été ravie de pouvoir mettre pleinement en pratique ‘l’apprentissage tout au long de la vie’, qui est une valeur de Mensura.
Pour être honnête, au départ, je ne savais pas ce que faisait Mensura. Conduire un camion équipé comme un cabinet de médecin, comme l’indiquait la description de fonction, ne me faisait pas peur. J’avais déjà conduit des ambulances. Le fait de découvrir différentes entreprises en tant qu’infirmière m’a également séduite, surtout lorsque vous retournez sur place et que vous apprenez à connaître les gens.
J’avais un peu peur que le travail soit monotone. Je pensais que la plupart des examens consistaient en des prélèvements d’urine et en des mesures du poids. Mais c’est bien plus que cela : je donne des informations, je peux faire certaines consultations de manière autonome, j’explique des choses aux travailleurs qui ont des questions… Par expérience, je peux maintenant affirmer que chaque jour est différent et me réserve quelque chose de nouveau.
Je recommande sans hésiter ce travail aux infirmiers et infirmières qui ont encore des doutes. Il ne faut juste pas avoir peur de travailler seul(e) ou avoir peur de l’inconnu. Vous ne savez jamais où vous allez vous retrouver. De plus, vous devez aimer les défis. Le travail implique une certaine pression et parfois un peu de stress, mais je trouve toujours une oreille attentive auprès de mon responsable. Dans mon travail actuel, il est également plus facile de relativiser les choses : je suis toujours responsable de la vie des gens, mais pas de manière aussi directe qu’à l’hôpital. Et je ne dois plus faire de gardes de 24 heures une semaine sur trois.
Régulièrement, les gens me témoignent de la reconnaissance. Comme quand je reçois un e-mail d’un client me disant que je peux venir chercher mes œufs de Pâques à la réception. Une petite attention, mais qui prouve que ce que je fais ne passe pas inaperçu. »