Un collaborateur sur 3 est toujours fumeur
10 ans après l’interdiction de fumer dans les lieux publics – tels que les bureaux, les écoles et l’horeca – Mensura fait le point : quelle a été l’influence de cette mesure sur le comportement tabagique des collaborateurs belges ?
Le caractère nocif de la cigarette pour la santé est connu : les non-fumeurs ont une plus grande espérance de vie et sont moins sensibles aux maladies. L’interdiction de fumer dans les lieux publics a donc été étendue ces dernières années, avec comme résultat une légère diminution du comportement tabagique des collaborateurs.
Pourtant, cette tendance à la baisse pourrait être améliorée. Et les employeurs peuvent jouer un rôle important à cet égard.
Les chiffres
Malgré l’interdiction, un tiers des collaborateurs a fumé en 2017. Ce sont surtout les jeunes qui fument le plus (39 % des moins de 35 ans contre 27 % des 55 ans et plus). Les hommes (38 %) fument plus que les femmes (26 %).
De plus, la proportion de fumeurs varie selon les secteurs. C’est dans le secteur de la construction et de l’horeca qu’on fume le plus (42 %) et dans le secteur des soins et de la chimie qu’on fume le moins (26 %).
L’importance d’une politique intelligente de lutte contre le tabagisme
Les employeurs ont tout intérêt à ce que leurs collaborateurs soient et restent en bonne santé. Les fumeurs connaissent plus d’absences non planifiées que les non-fumeurs.
Erik Carlier, Directeur Health chez Mensura : « Lors de l’élaboration d’une politique de santé, une approche intelligente du tabagisme est primordiale. Prévoyez des conseils d’hygiène de vie, des informations claires sur les conséquences néfastes du tabagisme et les possibilités de sevrage dans votre politique. »
Optimisez votre politique de santé
Mensura vous aide à préparer une politique de santé efficace, approche anti-tabac incluse. N’hésitez pas à nous contacter.
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