Evaluer l’état de votre politique en matière de bien-être

Depuis l’Arrêté Royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l’exécution de leur travail, chaque entreprise est tenue de développer un système dynamique de gestion des risques (SDGR).

Ce SDGR a pour objectif de rendre possible le planning de la prévention et de l’exécution de la politique en rapport avec le bien-être des travailleurs lors de l’exécution de leur travail. Une tâche ardue pour de nombreuses petites et moyennes entreprises n’employant bien souvent pas de conseiller en prévention à temps plein ou ayant suivi une formation. Il peut par ailleurs être intéressant pour les grandes entreprises d’obtenir un aperçu complet relatif au respect de la politique en matière de bien-être. A cet effet, elles peuvent faire appel à Mensura.

Lors d’un audit portant sur le bien-être au sein de votre organisation, nous organisons une visite du lieu de travail et nous nous basons sur un questionnaire afin d’évaluer l’état de votre politique en matière de bien-être. Une analyse des risques ciblée peut ensuite être effectuée, dans un ou plusieurs domaines du bien-être.

L’audit se compose de deux parties et a pour but de vérifier jusqu’à quel point l’entreprise applique la loi relative au bien-être dans divers domaines. Pour commencer, nous vérifions en compagnie d’un responsable de l’entreprise dans quelle mesure une série d’obligations « administratives » et « organisationnelles » (procédures, documents…) satisfont à la législation en vigueur pour votre société. Un deuxième volet consiste en une visite du lieu de travail afin de dresser la carte des éléments problématiques évidents.

Avantages

• Contrôler votre organisation rapidement et de façon structurée en matière de bien-être afin de déceler les non-conformités avec la loi et de fixer des priorités au niveau de votre politique de bien-être.
• Vous recevez à l’avance un aperçu de la documentation devant être à disposition le jour de l’audit.
• Une visite est organisée dans un lieu de travail afin d’observer les situations de travail réelles. Sur la base de ce screening, on détermine si des analyses complémentaires et/ou plus approfondies des lieux de travail s’avèrent nécessaires. Ces analyses approfondies ne font pas partie de l’audit mais sont reprises dans la liste des priorités.
• Dans un rapport (plan de projet), on mentionne clairement les lacunes éventuelles en matière de politique du bien-être au sein de votre organisation. Par ailleurs, on décide ce qui peut être réalisé en interne au sein de l’entreprise et ce qui doit être effectué par le service externe.
• Ce plan de projet peut servir de première ébauche pour le plan de prévention global.
• Au niveau des conseils, des propositions concrètes sont formulées afin de combler les lacunes. Ces conseils signifieront généralement que des analyses de risques doivent être effectuées dans un ou plusieurs domaines de la loi sur le bien-être.

Pour l’utilisation de cette liste, d’excellentes connaissances sont requises en ce qui concerne les différentes possibilités d’appliquer dans la pratique un système dynamique de gestion des risques au sein d’une entreprise. Une connaissance approfondie de la législation sur le bien-être constitue également une nécessité absolue. Ces connaissances et cette expérience sont indispensables pour vérifier de façon responsable si la problématique est abordée comme il se doit dans l’entreprise en question. Cet « audit » est en principe effectué par un conseiller en prévention du département gestion des risques.

Le questionnaire est divisé en plusieurs chapitres avec des thèmes généraux et des sous-chapitres comportant des éléments spécifiques faisant partie du thème général.

Chaque sous-chapitre contient une série de questions en rapport avec le bien-être au travail.

Pour votre entreprise, un audit de ce type permet de contrôler de façon approfondie votre politique de bien-être, vous permettant ainsi de fixer des priorités.